Le centre de ressources des « Bonnes pratiques pour l’eau »

 

 

 

L’action vise à recharger la nappe alluviale pour assurer un soutien d’étiage et rafraîchir l’eau de la Garonne en été. L’eau fournie par le canal de St Martory est répartie dans des fossés ruraux et infiltrée. Cette bosse piézométrique

L’action vise à recharger une nappe superficielle exploitée pour l’AEP et pour l’irrigation. Cette nappe subit une baisse continue de son niveau avec des impacts écologiques induits sur les zones humides associées. Une zone d’infiltration est mise en place dans des zones boisées à vocations multiples (écosystème, bois de feu, truffes, accueil du public).

La désimperméabilisation permet d’infiltrer sur place et sans rejet au réseau toutes les pluies inférieures à la décennale pour limiter la charge pluviale arrivant au réseau unitaire et à la station d’épuration des eaux usées (STEP), et atténuer et décaler le pic de crue.

En 2018, l’Institution Adour en collaboration avec le BRGM a entrepris une prospective participative originale sur le bassin de l’Adour pour répondre à un défaut d’engagement des acteurs

La recharge artificielle des nappes est une pratique qui vise à augmenter les volumes d’eau souterraine disponibles en favorisant, par des moyens artificiels, son infiltration jusqu’à l’aquifère. Elle