Le centre de ressources des « Bonnes pratiques pour l’eau »

L’action vise à évaluer les volumes transitant dans un sol tourbeux dégradé, en lien avec les variations du niveau de la nappe. Cette méthode évalue le volume total qui transite dans le sol de l’ancienne tourbière dégradée par remplissages-vidanges successifs.

L’action vise à évaluer : 1. le stock d’eau présent dans les sols des zones humides. 2. le volume d’eau annuel correspondant au battement de la nappe de ces zones (=volume transitant dans les zones humides).

L’action vise à recharger la nappe alluviale pour assurer un soutien d’étiage et rafraîchir l’eau de la Garonne en été. L’eau fournie par le canal de St Martory est répartie dans des fossés ruraux et infiltrée. Cette bosse piézométrique

L’action vise à recharger une nappe superficielle exploitée pour l’AEP et pour l’irrigation. Cette nappe subit une baisse continue de son niveau avec des impacts écologiques induits sur les zones humides associées. Une zone d’infiltration est mise en place dans des zones boisées à vocations multiples (écosystème, bois de feu, truffes, accueil du public).

L’action de réduction du risque de crue vise à abandonner une solution grise initialement envisagée (3 bassins de crue à construire) au profit d’une SaFN.

L’action vise à atténuer les crues hivernales et incidemment à lutter contre la sécheresse agricole.

La désimperméabilisation permet d’infiltrer sur place et sans rejet au réseau toutes les pluies inférieures à la décennale pour limiter la charge pluviale arrivant au réseau unitaire et à la station d’épuration des eaux usées (STEP), et atténuer et décaler le pic de crue.