Centre de ressources des bonnes pratiques pour l’eau

Les pratiques sylvicoles interagissent étroitement avec les capacités de rétention d’eau des sols forestiers. La gestion des forêts a une influence sur leur capacité de stockage naturel de l’eau,

Le sylviculteur se préoccupe du bilan hydrique de ses forêts, car celui-ci influence directement la croissance des arbres, la production de bois mais également l’état sanitaire des peuplements.

Depuis 2019, la CACG en partenariat avec l’UMR AGIR d’INRAE expérimente des systèmes de culture irrigués innovants (SCII) associant des pratiques relevant de l’Agriculture de Conservation des Sols à des techniques d’irrigation plus économes en eau.

Le projet ClimValley, qui a débuté en 2021 pour 2 ans, vise à apporter des solutions pour l’adaptation des exploitations en Grandes cultures irrigués face au Changement climatique tout en maintenant la rentabilité des assolements dans les sols de vallée d’Occitanie.

Face aux manques de données fiables sur les effets et les conditions de développement de l’agroécologie, ce guide s’attache à « proposer une démarche et des outils méthodologiques pour apprécier

La transition agroécologique est aujourd’hui perçue comme une voie offrant de nombreuses possibilités pour améliorer la durabilité et la résilience des systèmes agricoles. Or cette pratique, largement basée

Cette étude, conduite sur le bassin Adour-Garonne, avait pour objectif de mieux caractériser les effets des systèmes de cultures en agriculture de conservation du sol (ACS) sur les propriétés physiques du sol ayant une influence sur la dynamique de l’eau, et ce dans différents contextes pédologiques.

L’agroécologie en tant que discipline scientifique est aujourd’hui bien développée, mais la coexistence de plusieurs visions, que ce soit en termes académiques, de méthodes de recherche ou de pratiques, rend parfois son périmètre et sa définition flous. Toutefois, ses adeptes s’accordent sur le fait que son ambition première est de valoriser les processus biologiques

Alain de Scorraille s’est progressivement engagé dans l’agriculture de conservation des sols (ACS) en réponse aux problématiques d’érosion hydrique rencontrées sur son exploitation. Il a commencé dans les années 2000 par réduire le travail du sol en remplaçant le labour par des techniques culturales simplifiées (TCS).

Le modèle agricole dit « conventionnel », qui domine à l’heure actuelle, est confronté à de nouvelles pratiques agricoles jugées plus durables et respectueuses de l’environnement. L’agroécologie qui replace les fonctionnalités offertes par les écosystèmes au cœur de la conception des systèmes de production,