Le centre de ressources des « Bonnes pratiques pour l’eau »

L’action vise à recharger la nappe alluviale pour assurer un soutien d’étiage et rafraîchir l’eau de la Garonne en été. L’eau fournie par le canal de St Martory est répartie dans des fossés ruraux et infiltrée. Cette bosse piézométrique

L’action vise à recharger une nappe superficielle exploitée pour l’AEP et pour l’irrigation. Cette nappe subit une baisse continue de son niveau avec des impacts écologiques induits sur les zones humides associées. Une zone d’infiltration est mise en place dans des zones boisées à vocations multiples (écosystème, bois de feu, truffes, accueil du public).

L’action de réduction du risque de crue vise à abandonner une solution grise initialement envisagée (3 bassins de crue à construire) au profit d’une SaFN.

L’action vise à atténuer les crues hivernales et incidemment à lutter contre la sécheresse agricole.

La désimperméabilisation permet d’infiltrer sur place et sans rejet au réseau toutes les pluies inférieures à la décennale pour limiter la charge pluviale arrivant au réseau unitaire et à la station d’épuration des eaux usées (STEP), et atténuer et décaler le pic de crue.

Ce rapport repose sur un travail collectif de recherche d’experts sur la consommation d’eau potable en Gironde pour mieux évaluer l’évolution future de la demande dans le département.

Ce guide de référence sur la participation fait état de 13 méthodes pouvant être utilisées pour intégrer le public à la décision. Le praticien y trouvera des réponses et des solutions pratiques.

Cette recherche s’appuie sur des expériences réussies de diversification des cultures dans trois régions d’Europe (Vendée en France, Marche en Italie et Skåne en Suède). Les chercheurs ont particulièrement analysé les raisons et les modalités d’évolution des exploitations agricoles vers des systèmes de culture diversifiés, en vue d’identifier des leviers permettant de favoriser davantage la diversification des cultures.

Depuis 2019, la Chambre d’Agriculture du Gard propose aux agriculteurs du département un diagnostic de la vulnérabilité de leur exploitation face au changement climatique. Elle s’appuie pour cela sur des projections climatiques à l’horizon 2020 – 2050 pour les principales productions et secteurs géographiques du département.

L’OUGC Cogest’eau développe depuis 2017 un projet d’appui intégré à la gestion de l’irrigation et de l’étiage sur le bassin de la Charente-Amont en vue de l’adéquation entre la ressource et les besoins en eau. Il a notamment créé la plateforme web Hydrim