Centre de ressources des bonnes pratiques pour l’eau

ASPEXIT a lancé en 2021 une plateforme open-source et gratuite de référencement des outils numériques en agriculture. Destinée principalement aux agriculteurs, techniciens et conseillers agricoles, son objectif est de leur permettre de s’y retrouver dans cet écosystème extrêmement foisonnant et complexe

Dans un objectif de plus grande résilience de la zone Sudoe (Portugal, Espagne et une partie de la France), le projet multi partenarial ClimAlert (2019-2022) vise à développer un service transnational d’alerte précoce des risques climatiques en rapport avec l’eau (sècheresse, inondations, incendies, érosion du sol)

Jusqu’à présent les outils d’aide à la décision en matière de pilotage d’irrigation ont pour objectif d’optimiser un volume d’eau pour atteindre un rendement maximal. Or, si on considère certaines variables de coût (eau et électricité), le revenu maximum n’est pas forcément obtenu lorsqu’on atteint le rendement maximal.

Cette étude vise à tester la méthode de sélection les plans d’eau aptes à assurer un soutien d’étiage et à optimiser l’utilisation du débit et du volume disponibles.

Le plan de gestion mutualisée de la ressource en eau vise le soutien des étiages en valorisant les volumes non utilisés dans certains plans d’eau. L’approche consiste à considérer collectivement l’ensemble des ouvrages comme un système de gestion participative. Chaque plan d’eau se voit attribuer un rôle selon son usage et sa capacité de remplissage.

Ce document présente 10 retours d’expérience de mesures naturelles de rétention d’eau, en France métropolitaine, dont 3 relevées ici.

L’action vise à évaluer ex ante un projet d’éradication de végétation arborée envahissante pour rétablir des débits d’étiage fortement affectés par le changement climatique.

L’action vise à restaurer des tourbières et à mesurer l’efficacité de ces restaurations sur les débits. La présente fiche vise à comparer les évapotranspirations entre eau libre, marais à jonc et tourbière à sphaigne.

L’action vise à restaurer des tourbières et à mesurer l’efficacité de ces restaurations sur les débits.

L’action vise à suivre un réseau de zones humides réhabilitées : niveaux de la nappe, faune, flore, azote et phosphore.