Le centre de ressources des « Bonnes pratiques pour l’eau »

Dans son PLUi, la communauté d’agglomération de la Rochelle intègre progressivement plusieurs des enjeux de gestion quantitative de l’eau. Dès 2019, elle mobilise plusieurs outils pour protéger les zones humides : orientation du PADD, zonage spécifique et dispositions associées, Orientation d’Aménagement et de Programmation (OAP) thématique « Paysages et Trame verte et bleue ».

Cette étude vise à tester la méthode de sélection les plans d’eau aptes à assurer un soutien d’étiage et à optimiser l’utilisation du débit et du volume disponibles.

Le plan de gestion mutualisée de la ressource en eau vise le soutien des étiages en valorisant les volumes non utilisés dans certains plans d’eau. L’approche consiste à considérer collectivement l’ensemble des ouvrages comme un système de gestion participative. Chaque plan d’eau se voit attribuer un rôle selon son usage et sa capacité de remplissage.

Ce document présente 10 retours d’expérience de mesures naturelles de rétention d’eau, en France métropolitaine, dont 3 relevées ici.

L’action vise à évaluer ex ante un projet d’éradication de végétation arborée envahissante pour rétablir des débits d’étiage fortement affectés par le changement climatique.

L’action vise à restaurer des tourbières et à mesurer l’efficacité de ces restaurations sur les débits. La présente fiche vise à comparer les évapotranspirations entre eau libre, marais à jonc et tourbière à sphaigne.

L’action vise à restaurer des tourbières et à mesurer l’efficacité de ces restaurations sur les débits.

L’action vise à suivre un réseau de zones humides réhabilitées : niveaux de la nappe, faune, flore, azote et phosphore.

L’action vise à étudier le rôle supposé important des zones humides dans la rétention et le stockage d’eau et sa libération différée assurant une fonction de soutien de débit d’étiage des cours d’eau (voire des eaux souterraines).

L’action vise à évaluer les volumes transitant dans un sol tourbeux dégradé, en lien avec les variations du niveau de la nappe. Cette méthode évalue le volume total qui transite dans le sol de l’ancienne tourbière dégradée par remplissages-vidanges successifs.